OUTILLER – INNOVER – CRÉER !

INTRO :

Les expressions économie du savoiréconomie de la connaissance ou économie de l'immatériel ou encore capitalisme cognitif, désignent ce qui serait une nouvelle phase de l'histoire économique dans laquelle, selon certains économistes, nous sommes entrés depuis la fin du xxe siècle (années 1990).

C'est Fritz Machlup qui en 1962, semble avoir posé les premiers jalons de ce que l'on appellera plus tard l'économie de la connaissance, dans son livre The production and distribution of knowledge in the United States. Sa thèse en 1977 montre que près de 45 % de la main-d’œuvre employée aux États-Unis a pour tâche de manipuler de l'information. Ces travaux sont repris dans une annexe d'un rapport officiel français paru en 1978, L'Informatisation de la société, rapport qui connait un succès médiatique sans précédent sous le nom de ses auteurs Simon Nora et Alain Minc.

AU SUJET DU VIDÉO CI-HAUT :

Notre cerveau est plus grand que toutes ses créations. Ce n’est pas à notre cerveau de s’adapter à nos créations, mais l’inverse. De la médecine à la politique, du marketing à l’éducation, appliquer ce principe, c’est se changer soi-même... et changer le monde.

Notre société brasse aujourd’hui une quantité gigantesque de connaissances et, malgré tout, ne produit que très peu de sagesse. Or une civilisation qui produit beaucoup de savoirs sans sagesse est vouée à l’autodestruction.

L’ouvrage traite en particulier de la neuro-ergonomie, la science qui étudie le cerveau au travail. De l’école au bureau, ou en ville, le potentiel de cette nouvelle science est immense, aussi bien socialement qu’économiquement. Il décrit précisément notre cerveau, ses capacités, ses limites, ses points aveugles, et les moyens connus de l’utiliser au mieux.

Des cas récents nous démontrent en effet à quel point l’usage de notre cerveau est perfectible : des calculateurs prodiges parviennent à calculer la racine treizième d’un nombre à cent chiffres en moins de quatre secondes. Or ils ont le même cerveau que nous ! La différence réside donc dans leur manière de l’utiliser, et en particulier dans leur capacité à répartir la charge cognitive sur plusieurs fonctions de leur esprit.

Cette capacité, Idriss Aberkane nous explique comment nous pourrions tous la maîtriser.

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